Mon HLM

Ben, oui, un prof ça gagne pas tant que ça et les rentrées d'argent illégalles vont dans le matériel de travail. En effet, Sergei a acheté tout le bâtiment sous un faux nom et les caves lui servent à travailler.

Le père Gorgie se réveilla dans une pièce inconnue aux murs tâchés de sang. Il ne savait pas qu'il était dans la cave de Sergei. Qu'il avait patiemment insonorisé pour pouvoir y travailler en paix. Personne n'entendrait ses cris, ici. Après qu'il ait attendu, ligoté suffisament longtemps pour se calmer, Gorgie vit arriver quelqu'un par la porte en métal. C'était Sergei.
"Bonjour, mon père, nous allons commencer l'office"Commença-t-il avec son accent Russe.
Il sortit un scalpel et l'appuya contre la gorge de l'homme de foi.
"Est-ce que vous croyez en la vie après la mort, padre?"Poursuivit-il avec une lueure de folie dans le regard.

Le prêtre ne se sentait pas bien. Le simplie fait qu'on le manie le fesait devenir dingue. Déja qu'il n'était pas très bien, psychologiquement parlant, mais là il sentait réellement son subconscient prendre le dessus. A tel point qu'il penser un instant être posséder par le demon. Ses paroles étaient néanmoins couper de divers inspiration nasale qui le fesait soufrir. En effet, le fait que sergei le coupait à la gorge ne faciliter pas la respiration.

-"Monsieur ... rrgrr ... La mort ... rrgrr ... n'est que le début ... rrgrr ... de la vrai vie"

Les yeux rouge, les paupière dilater, les cheveux gras et le visage trempé de sueur, l'homme avait vraiment l'air du diable en personne.

[Hj:Je ne lai pas encore blessé avec le scalpel, juste menacé]

Quoi? Quoi? Ce débris osait résister? Il lui tenait tête, à lui, au boucher de Kiev? Il ne le suppliait pas? Il n'implorait pas? Il le défiait? Sergei était dans une rage folle. Le prêtre allait souffrir, vraiment. Il connaitrait l'enfer.
"Dommage pour toi, vieil homme, tu ne mourras pas aujourd'hui."
Sergei se plaça derrière le prêtre et lui comprima les globes occulaires avec ses doigts.
"Je vais t'arracher les yeux...non, j'ai une meilleure idée."
Il cessa au bout de quelques secondes, un court instant pour le bourreau mais un instant d'atroces souffrances pour la victime. Sergei se saisit d'une immense pince et l'approcha de la main Gorgie.
"Dites-moi, par quel doigt voulez-vous qu'on commence?"

Le prêtre se poser nombre question intérieur. Il n'avait jamais fait de mal. A moins que couvrir ce qui en font soit un pécher. C'est là qu'il se rendit compte de sa bétise. Il avait déja cacher de nombreux meurtre et autres crime, et c'était l'heure du jugement dernier. Rien ne pouvait plus le sauver. Mais l'homme en face de lui, bien qu'il eu un air sadique pousser, rester pour le prêtre un simple humain.

-"Vous savez... grrr .... vous y gagneriez à me laisser vivre.... grrr monsieur.'

Ca y était, Sergei pouvait sentir la panique monter dans l'esprit embrouillé du prêtre, il ne viant que pour ces moments là, bientôt, le misérable bonhomme le supplierait de l'achever. Il se dit que l'amputation n'était pas une bonne idée, trop rapide, trop frustante. Il décida de commencer par quelquechose de simpke mais efficace:
Il prit un couteau, entailla le bras de sa victime et prit une pincée de sel.
"Je n'ai pas l'intention de te tuer." Dit-il avec un large sourire qui en disait long sur ses intentions. Puis il versa le sel sur la cicatrice. Juste une mise en bouche.

Le prêtre gémit à la tombée du sel mais ne faiblit pas.

"Que... grrr ... comptez vous ... grrrr ... faire ... grrrr ... de moi!?"

Le prêtre excausa des petites prières intérieures qui lui assureraient sa place au paradis.

"Vous .... grrr ... savez ... grrrr ... Notre Père ... grr ... vous puniras ... pour ce que .... grrrr.... vous allez .... grrr ... faire... grrr ... alors que moi ... il me remercia ..."

Le prêtre respira difficilement et son état devenait de plus en plus sévère.

"Vous ... grrr... n'êtes qu'un ... grr... simple humain ... grrr ... vous ne ... grrr ... resisterais pas ... grrr ... à la punition de notre ... grrr ... maitre alors que moi .... grrr ... comme son fils ... grrr ... j'ai été préparé..."

Le prêtre espérait jouer sur le mental de l'hômme qui se trouver se face de lui.

La voiture conduisant le chef de la mafia Russe s'arrêta devant un immeuble en triste état. Le chef en question fut réveillé avec une délicatesse toute relative par son chauffeur:

"Patron, nous y voilà. C'est pas le grand luxe, mais c'est discret. Demain, quand vous irez mieux, je vous montrerais la cave où on entreposera les armes. Vous verrez, on va repartir comme avant, mieux même."

C'est avec ces paroles réconfortantes que Sergei aida Wiktor à aller jusqu'à son deux-pièce. Il posa ensuite son patron dans le lit et s'assit lui même dans le canapé. Il s'endormit avec un laconique:

"A demain, patron."

Wiktor s'endormit sur le lit.

"Ciao fiston et merci..."


La nuit passa et quand il se réveilla Wiktor vit qu'il se trouva dans un appartement peu spacieux mais l'essentiel c'était d'avoir un toit ou repartir de plus belle, et puis il n'allait pas se plaindre, Sergei lui avait sauvé la vie et il s'était occupé de lui comme un frère.

Wiktor se redressa et vit une vielle machine à café. Il trouva un peu de café dans les placard et il fit deux café sérré. Il alla voir Sergei.

"Mon ami, l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tot."

Il lui tendit sa tasse et alla s'assoir sur un chaise.

"Ta un plan?!"