De retour.

Cortez revenait du bar KGB. Quand il entra dans le bar japonais, il le trouvait toujours aussi vide.

**Faudra vraiment penser à des aménagements dans ce lieux de merde.**
Puis il repensa à Kelly.

"SI belle, si pure..." Il alla se chercher à boire et se posa à une table. Il enlevat le film platisque qui était sensé la protéger de la poussière et posa son flingue. Il le fit tourner autour de son doigt et joua avec. Il ne savait pas quoi faire, il décida alors de rester planter là en attendant un peu d'action.

Cortez n'avait pas détourné les yeux quand la porte s'était ouverte. Il était resté de marbre avec son verre vide. Il pensait et réfléchissait. Comment remmetre d'applomb cette mafia qui était morte en même temps que son chef.

"C'est pour quoi?!!"

Il ne regarda toujours pas son interlocuteur perdu dans ses pensées.

Kelly fit un signe de la main avant de voir que Cortez ne la regardais pas. Voilà qui était problématique. D'une manière ou d'une autre, elle devait s'annoncer. Elle avança jusqu'au centre de la pièce et se présenta d'une voix neutre.

"Kelly O'Shaugnessy, je viens pour..."

Elle ne savait pas trop quoi dire. Elle ne voulait pas commettre d'erreur.

"Si c'est pour voir Sakymonè, il est mort. Si c'est pour voir une mafia déchue, tu peux rester car tu as devant tes yeux la mafia la plus morte au monde. Elle est décédée en même temps que son chef, en même temps que ces saletés de russes ont posé la main dessus. Je suis désolé mais je ne te serai d'aucune aide."

Cortez gambergea quelques instants et osa poser un regard sur cette personne dont le nom ne lui était pas inconnue. Il reconnue la jeune fille du bar russe, la jeune fille aux explosifs.

"D'habitude j'aurai été plus enthousiaste mais la je suis au bout du rouleau. Je suis désolé, mais je ne peux rien pour toi. A part si tu as une idée pour remettre d'applomb ce lieux. Mais viens t'assoir à coté de moi nous allons parlé de ca"

L'avenir de la mafia japonaise, les problèmes sérieux. Kelly se sentait plus sur son terrain ainsi qu'à jouer les idiotes. Elle décida de se présenter franchement. Elle s'assit et commença:

"Les Russes ne sont plus un problème, je les ai envoyé de l'autre coté de la clairière. Votre qg, au moins ne s erésume pas à un cratère. Dites moi exactement ce qui se passe dans cette ville. Je suis là pour vous aider."

Elle ponctua son discours par un sourire, pour remonter le moral du gangster. Elle lui trouvait quelque chose de sympathique, comme une innocence trop rare dans ce milieu.

"Cette ville est le berceau de la mafia. Elle est divisé en trois quartiers. Le quartier russe, le quartier japonais et le plus vieux des trois le quartier sicilien. Chaque mafia comporte un chef, un qg et surtout un rôle. Le chef de la mafia Russe est ce dénommé Wiktor. Mais il a assassiné Vladimir, l'ancien chef pour prendre sa place. Le chef Japonais était Sakymonè un hômme très respectable, qui fut tué par les russes. Enfin le chef Sicillien est Don Marcelli, un viel uluberlu. La ville était avant un endroit paisible. MAis un jour de novembr, quatres hômmes sont arrivés. Des anciens collègues de l'université. Ils avaient tous étudiés la politique et s'était spécialisé dans différentes activités comme l'assassinat, le blanchiment d'argent, la drogue, l'immobilier. C'est quatres hommes ont investit la ville et ils la dirigèrent ensemble. Mais un des leurs a été assassiné. Le doute planait et n'étant plus que trois, ils décidèrent de séparer la ville en quartier. Ainsi naissa le quartier sicilien, le quartier japonais, et le quartier russe."

Cortez prit une respirtation importante et continua.

"Les tensions montèrent, chacun voulait oublié leur amitié et dirigé la plus grande partie de la ville. Puis on nota différents évènements qui montrèrent qu'un hômme voulait la ville à lui tous seul. Cet hômme ne faisait pas partie des quatres de départs. Il s'apellait Wiktor, il avait assassiné Vladimir, le chef russe. Ainsi Vladimir était mort, le Don fut envoyé en prison et Sakymonè fut assassiné. Tout prouve à penser que cela émerge de la mafia russe car sur les quatres de départs il ne reste plus que le Don."

Cortez regarda la jeune fille et s'attendit bien sur à une incompréhension de sa part.

L'histoire de la ville n'intéressait pas Kelly, elle n'était pas venue en touriste. Par contre elle n'eut pas de mal à comprendre que Cortez en voulait à Wiktor.

*Que veux-tu mon petit, t'as pas remarqué? Tu es dans la mafia, si tu peux pas trahir pour survivre, tu tiendras pas longtemps. Heureusement que je suis là.*

"Pour résumer, trois mafias se partageaient la ville et maintenant il ne reste, pour ainsi dire que les siciliens. Les russes ont été pulvérisés par mes soins et les japonais sont dans le creux de la vague. J'ai bien compris?" Dit-elle sur un ton très sérieux.

Cortez décella tout de suite so ton sérieux.

*M'aiderait-elle?!! Ferions nous une équipe?!!*

"C'est bien cela... seule la mafia sicilienne est encore debout avec son parrain de départ. Mais même si le Don viendrait à être assassiné, il serait remplacé par un être de confiance, par l'être qu'il aura choisit. Cet être est déjà choisit, tous le monde connait son existence. Il est connu de partout et est cherchez par tous. On dit que celui qui trouvera l'élu aura, en plus du controle de la mafia sicilienne, le controle de la ville. Il peut aussi bien tomber dans les mains de bons, comme de mauvais. Cet être est surnomé: l'élu. Personne ne sait encore où il est."

Cortez posa ses mains sur sa tête.

Décidément, le pauvre Cortez était irrécupérable, pas étonnant que la mafia japonaise batte de l'aile avec un chef pareil. Heureusement pour Cortez, le plan de l'irlandaise nécéssitait de faire remonter les japonais sur le devant de la scène pour affaiblir les siciliens. Elle regarda l'homme qu'elle avait en face d'elle, il était complètement désespéré, elle se sentait mal de le manipuler de la sorte.

"Votre "élu", il est pas blindé, une fois qu'on aura flingué le parrain sicilien, son dauphin devra bien se montrer et là, bang!" Dit-elle en mimant un pistolet avec sa main et en le pointant devant elle.

"Justement non, car flingué ou non l'élu ne devra apparaitre qu'à une date précise, choisie par le Don, et seul le Don connait le moyen de le faire sortir. Vous n'imaginez pas la force de la mafia sicilienne. C'est un combat irrégulier et impossible. Il vous sera impossible de sortir vainqueur. En ces temps, le Don va vouloir surment sortir en beautée. Dans ce cas la, il faudra mieux s'allier avec lui plutôtque de se monter contre lui. Je suis un mercenaire, je ne connais ni lois, ni règles. Je suis sans pitié mais je n'ai peur que d'une chose le Don."

Cortez avait besoin de parler et cette conversation lui avait redonné le sourire et la force. Il se leva et remplit deux verres. Il en tendit un à la jeune fille. Il voulait retrouver cette joie de vivre, et ce bonheur qui l'animait. Il la regarda dans les yeux et ses pensées ce perdirent dans ce regard profond.

Sous ses airs innocent, Cortez avait une bonne vision du milieu d'un point de vue stratégique. Il avait raison sur au moins un point: on n'attaque pas un ennemi aussi puissant de front, surtout quand on a pas les moyens de résister à la contre-attaque. Un plan commençait à se déssiner dans l'esprit de Kelly.
Elle siffla son verre d'une traite et remarqua que Cortez était...perdu. Elle fit claquer ses doigts devant le visage de son collaborateur pour attirer son attention:

"Il faudra infiltrer leur système pour connaitre les habitudes du Don et préparer son éxecution. L'infiltration j'en fais mon affaire, c'est pour ça que je suis là. Par contre pour le meurtre, il nous faudra un spécialiste si on veut être sur de pas le rater. Un homme de confiance qui agisse avec professionalisme et éfficacité.
On peut y arriver, c'est possible!" Dit-elle en attrapant les mains de Cortez dans les siennes.

Cortez avait les yeux qui brillaient. Elle lui avait prit la main. Elle lui avait fait un sourire. Il lui rendit immédiatement son sourire. Mais il se rapella le certain dédain qu'elle qavait eu pour lui avant d'entrer dans le bar.

"Pourquoi es tu venu ici? Quelles sont tes réeles intensions?"

Cortez était bien sur ravis qu'elle veuille l'aidé mais il trouvait sa malgrè tout très bizarre.

Enfin, il posait les bonnes questions. Peut-être aurait-il son utilté à long terme. Elle décidé de tout lui dire, du moins tout ce qu'elle était autorisée à dire:

"Je suis envoyé par la mafia Irlandaise. Je prépare notre arrivée. Dans ce cadre j'ai toute latéralité pour sceller des alliances et préparer des affrontements. Tu as la possibilité d'être avec nous, ou de t'opposer à nous. Je ne te cacherais pas que je préfère t'avoir à mes cotés." Dit-elle en plantant ses yeux couleur emeraude dans ceux de Cortez.

[c'est pas gentil de jouer ainsi avec lui ... c'est un être candide encore ]

Cortez ne put résister à son regard profond.

"Tu veux te dresser contre le Don?! Tu veux que la mafia irlandaise contrôle la ville?!! Mais que deviendrait les quartiers?! Tu ne pourras pas élever la mafia irlandaise à ce point. C'est difficil... mais comme qui dirait Monsieur Phelps

Citation :

ce n'est pas mission difficile monsieur Hunt, c'est mission impossible

. Je suis des votres. On pourra ainsi redorer l'image de la mafia japonaise."

Cortez embrassa les mains de Kelly et se leva.

"Il nous faut un plan."

Décidément, ce petit gangster sans ambition la faisait osciller entre espoir et déception, tantôt il se montrait compétent tantôt il semblait incapable de comprendre ce qu'elle disait:

"Tu m'écoutes quand je parle? Le plan je viens juste d'en parler: j'infiltre la mafia Sicilienne, je récupère des infos sur les habitudes du Don et le moment venu, on lui fait bouffer du plomb. Il nous manque juste un assassin."

Elle avait parlé sur un ton assez autoritaire.

"Mais tu ne comrpend pas ... personne ne peux infilter la mafia sicillienne, personne ne peut approcher le Don... Il est indestructible... il nous faut en plus d'un assassin, un hômme capable d'approcher le Don sans suspicion... et ça c'est impossible."

Cortez réfléchissa.

"On peut essayer d'infiltrer et de corrompre un des ces propres hômmes..." Cortez ne savait plus quoi faire, dans quoi c'était-il infiltré.

"Sinon on fait tout péter... on y va la fou et on détruit tout."

Decklan poussa la porte d'un petit bar du quartier japonais. Un message sur son répondeur lui avait laisser entendre qu'un certain Kortez ou Cortesse, il n'était plus très sur du nom pouvait avoir quelque chose à lui proposer, mais il ne parvenait pas à trouver une consonnance japonaise à ce nom de toute manière et ne comprenais donc pas comment un rendez vous ici pouvait avoir lieu, même si, il est vrai que la personne qui lui avait fait parvenir l'info était une personne de confiance donc, il était venu. Une fois entré, un rapide tour d'horizon lui fit comprendre qu'en fin de compte il faisait très couleur local, le rapport asiatique/occidentaux était très faible. Deckaln se dirigea vers le comptoir, héla le barman et lui demanda:

"Excusez moi, j'ai rendez vous avec un certain Kortesse, ou Quortez, pour une vente de Saï, mais je ne le connais pas, sauriez vous me dire s'il est ici? Et si oui, où?"

Decklan sortit un billet et le mis sur le bar et échange du service.

*J'espère que je l'ai bien prononcé.*

Attendant une réponse, Décklan jeta un oeil à la table où 2 occidentaux parlaient.

*L'homme est un Latino, Cortez, c'est peutêtre un Latino en fin de compte, ça pourrait être lui... attendons de voir.*

Le barman alla vers Cortez et lui dit que l'hômme le demandait. Cortez se leva et alla vers l'hômme. Il lui tendit la main.

"Bonjour, je suis Cortez. On m'a dit que vous me cherchiez. Si vous voulez bien vous joindre à nous."

Ils s'asseillèrent otut deux à la table.

"Je vous présente Kelly. Une charmante jeune femme n'est ce pas?!!"

Decklan prit ainsi place à la table du dénommé Cortez et de la rousse Kelly.

*Mmmmh, une personne non prévu, parlons à mots couvert. De plus 2 personnes non Japonaise, dans quoi m'avez vous envoyé Shosuke-ojisan?*

"Enchanté, pour ma part, je suis Decklan Stroy, collectionneur et occasionnellement vendeur d'armes de qualité...."

Decklan sortit 2 cartes de visite qu'il tendit aux personnes partageant sa table.

"... c'est une tradition familiale. Je suis venu car l'on m'a parlé d'une paire de saï de qualitéqui pourrait vous interresser, avec 2 dragons incrusté dessus, c'est un peu cher, mais le travail du forgeron prouve sa maitrise, l'arme est équilibrée, le travail de finition n'a pas été laissé au hasard, et les décorations, simple mais à l'esthétisme réelle, ne font qu'augmenter la valeur de ces armes."

*Est-ce que je part dans une dissertation sur l'histoire de ce type d'arme ou encore de ces 2 pièces précises ou bien je laisse le soin à Mr. Cortez de m'expliquer le but de ma présence?*

Kelly salua le nouveau venu d'un large sourire. Elle se demanda ce qu'un européen venait faire ici, avant de balayer la salle des yeux pour apprécier l'importance de la mafia japonaise. Une Irlandaise, un latino et un européen, peut-être même pas là pour les affaires. Elle écouta attentivement ce qu'il avait à dire:

"Enchanté, pour ma part, je suis Decklan Stroy, collectionneur et occasionnellement vendeur d'armes de qualité. C'est une tradition familiale. Je suis venu car l'on m'a parlé d'une paire de saï de qualitéqui pourrait vous interresser, avec 2 dragons incrusté dessus, c'est un peu cher, mais le travail du forgeron prouve sa maitrise, l'arme est équilibrée, le travail de finition n'a pas été laissé au hasard, et les décorations, simple mais à l'esthétisme réelle, ne font qu'augmenter la valeur de ces armes."

Il était bien là pour les affaires, mais pas celles auquelles elle s'attendait. Elle se demanda à quel point il était mouillé avec les mafias, mais il fallait jouer finement. Elle décida d'aborder doucement le sujet:

"Est-ce que le trafique est très règlementé?"

*Donc c'est pour le traffic d'armes anciennes que j'ai été convié? Mmmh, ils me semble qu'ils y ait eu méprise.*

Decklan prit un peu de temps temps pour réfléchir à une bonne formulation pour sa réponse

"Mmmh, en effet le traffic doit être très réglementé, mais c'est normal, certaines pièces sont de pures oeuvre d'art qui appartiennent au patrimoine national, donc il n'y a rien d'étonnant à ce que les pays soit contre leur vente. Toutefois ici le problème ne se pose pas tous ce qui vient de chez moi est 100% légal en plus d'être de grande qualité, nous travaillons avec d'autres collectionneurs et sommes parfois obligés de vendre pour obtenir les fonds nécessaire à l'obtention d'oeuvre exeptionnel ayant appartenu à un grand homme ou étant l'objet de légende. Un peu comme cette arbalète japonaise antérieure à la création de sa jumelle itallienne qui arriva près de...."

Deck regarda la femme dans les yeux.

"Je parle, je parle, une vieille manie, dès qu'il s'agit d'armes anciennes je suis inarrétable, ceci dit vous devriez passer, à l'occasion, voir la collection familiale, vous pourrez ainsi juger de sa qualité, vous pourrez alors mieux vous faire une idée des trésors cachés dans les armes anciennes."

Decklan commençait à se poser des questions.

*Mmmmh, part-elle à la pèche à l'information ou Cortez l'a-t-il mise au courant? Dans le premier cas de figuremieux vaut continuer à jouer mon personnage, dans le second...elle connaitrait mon visage mon nom et ma couverture maintenant...mmmmh elle semble plus dure qu'il n'y parait au premier abord, l'éliminer serait très dure....*

"Le fait est que les armes de ma collection sont des oeuvre d'arts. Elle sont toujours utilisable pour réaliser leur but premier, à savoir oter des vies, mais bon, les utiliser ainsi reviendrait à mettre la Joconde sur votr cheminée pour décorer votre salon, une inepsie. Aussi pour ces armes là, même sa j'avoue avoir essayé un ou deux moulinet avec les sabre, pour tester leur équilibre, mais aussi essayer d'imaginer ce que pouvait ressentir leur propriétaire original, je pense quel'on peut me considérer comme un théoricien.
Maintenant, utiliser les armes actule me semble à la portée du premier imbécile venu, il suffit de visé sa cible et d'appuyer sur la gachette. J'ai essayé quelques fois. Avec les pistolet, un homme normal acquiert les capacités de destruction semblable aux grands guerriers passé, même si j'admet qu'un minimum d'entrainement parait être nécessaire pour être efficace."

*On verra bien, si elle est au courant ou que Cortez veut la mettre dans le secret, les langues devraient se délier, sinon... un autre rendez vous sera pris quand Cortez sera libre...*

Decklan observait la jolie rouquine.

"J'espère que cela réponds à votre question..."