A La Cave.

Santiago et Howard Benett arrivèrent rapidement au bar. Ils descendirent directement dans la cave. Santiago alluma la lumière et un vaste bunker fit son apparition. Il y était entreposé une multitude d'armes, de la nourirture, et des nombreux trésors. On pouvait apercevoir des magnifiques tableaux de peinture. Santiago n'osait pas pénétré dans ces lieux seuls, on disait qu'ils étaient gardés par un gardien horrible, un monstre.

Santiago indiqua une petite salle à Howard.

"Je t'envoie le Don... Ciao"

Santiago se dépécha de remonter au bar et de reprendre le controle de son comptoir.

Howard descendit dans une cave en compagnie de l'hômme qui était venu le chercher. L'atmosphère était pesante et lourde. Il était à présent seul, car l'hômme était remonté en trombe. Il ne savait pas pourquoi il était là, ni pourquoi tant de fois il avait reçu de coup de fil d'un hômme qui s'appellait le Don. Howard avait 23ans, et il avait toujours vécu au bar malfamé avec le barman qui l'exploitait. Il travaillait nuit et jour pour que dalle. Enfin si pour le gite et la bouffe, soi disant. Howard ne connaissait rien de son passé, ni de son enfance. Il n'avait jamais posé la question car des qu'il parlait il se fesait remballé. Il s'assit sur une chaise et attendit que un certain Marcelli vienne.

Il se tourna es pouces et jetta un oeil à l'environnement. Un endroit apparement blindé où y était entreposé des trésors, de la nouriture et des trucs pour survivre et même pour déclarer une guerre. Dans quel endroit avait-il mit les pieds?! Il décida de se casser vite. Il remonta les escaliers et tourna la poignée...

Don était descendu à la cave quand il avait vu Santiago remonté. Il lui avait laissé la garde de LileHana. Don tournit la poignée et tomba nez à nez avec un jeune hômme.

"Où vas tu?!! Tu veux partir?!! Ne veux tu pas savoir pourquoi est-tu la avant?!"

Don prit le petit par l'épaule et ils allèrent s'assoir su un canapé.

[désolé de mon retard... j'ai honte!]

Howard se fit vite ramener sur le canapé par un vieillard.

"Qui êtes vous? ou suis-je? Pourquoi m'avoir fait amené?!" Howard se posait beaucoup de question sur la raison de sa présence ici.

"Je n'ai rien fait alors ne me tuer pas tout de suite... que me voulez vous?"

Howard était stréssé la gorge sèche, il avaiut du mal à déglutir et desgouttes de sueur dégouliné de son front.

"Ne t'inquiètes pas petit, je ne compte pas te tuer ni aujourd'hui, ni demain, ni après demain car n'oublies pas ce qu'à dit l'économiste Schimdt: "Les profits d'aujourd'hui sont les investissements de demain et les emplois d'après demain.". Ainsi tu es mon profit, je ne vais pas te tuer tout de suite car tu es mon golden boy. Je m'appelle Marcelli, mes amis m'apelle le Don et je suis connut de toute la City. Je suis connu comme le plus grand parrain sicillien. J'ai monté l'affaire de la ville. Je t'ai convoqué ici car il faut que tu saches la vérité... la vérité sur ton enfance, sur ta vie, et sur ton futur. Je v'ais t'apprendre des tas de choses horribles, terrifiantes mais telment importantes pour la suite de ta vie. J'ai laissé la porte ouverte. Je vais te laisser t'y dirigé et réfléchir. Si tu as envie de rester fermes la porte et revient, si par contre tu veux partir sors et fermes la porte derrière toi. Rien ne t'en empêche et rien ne t'obliges à rester.é

Howard était supris de tout ce que venais de dire le Don. Apparement, il ne fallais pas rigoler avec ça. Il se dirigea en bas des escaliers et repensa à tout ça.
"...tu es mon golden boy...". Il monta les escaliers et prit la poignée de la porte. Il referma lentement la porte et redescendit vers le Don. Il s'assit à ses côtés.

"Je suis prêt à tout entendre. Ne perdons pas de temps."

Howard était concentré il allait enfin avoir la réponse à toutes ses questions.

"Je suis le parrain de la mafia, et j'arrives en fin de règne. Cela fait plus de vingt ans que je règnes sur cete putain de ville. Je suis las, las de toutes ses conneries, las de toute cette vie de merde que j'ai passé et que j'ai fait passé au autres. Quand tu es dans le métier il faut apprendre à être impitoyable: je l'ai été, je le suis et tu le seras. Tu as vécu loin de tout ça pendant des années car je ne voulais pas que tu sois méler de prêt ou de loin à cela. Je ne voulais pas qu'il arrive malheur à ma famille. Tu es mon neveu et tu es apellé à prendre ma succession."

Don venait de lui avoué quelque chose de stupéfiant, il ne savait pas comment il allait réagir.

"Howard ... qu'en penses tu, ce n'est pas une mince à faire, il te fautdra un temps de réflection et de remise en question."

"Mon oncle... je veux le faire, je veux régner sur cette ville. Je serai digne de toi, de tout ça, de ton empire... mais je veux apprendre les ficelles du métier, je ne peux pas me lancer dans la danse comme ça, il me faut un maitre et tu le seras."

HOward était stupéfait, il n'arrivait pas à le croire... Puis il eut une période de doute, il avait prit sa décision trop rapidement.

"Je suis peut être allé un peu vite mon oncle, laissez moi le temps de réfléchir s'il vous plait."

Il se leva et sortit, il avait besoin de la voir.

"Don marmomma quelques mots quand il le vit partir...

*Je comprends , mais tu n'aura pas tout ton temps alors réfléchit vite."

Don se sentait mourir, mais il ne voulait pas partir avant d'avoir trouver son succésseur.

Après d'intenses réfléctions, Don se leva. IL devait aller faire un tour car il étouffait. Mais il ne savait poas où allait, et tout le monde était de sortit. Il alla vers la porte et l'ouvrit. Il se retrouvit dans le bar et vit qu'il était vide.

*C'est pas plein pour une aprés midi.*

Il fit signe à Santiago et alla au garage. IL prit les clefs de sa porsche et sortit du garage tranquillement. Il avait décidé d'aller à l'hôpital voir son vieil ami pour quelque conseils.