Fusillade(?)

Pablo entra dans un magasin sombre, touchant tout juste l'immense centre commercial de Moscou d'où il venait de quitter son patron.
Ce petit magasin poussiereux d'un comptoir unique vendait des antiquités.
Picasso s'arreta un instant sur le seuil de la porte pour s'habituer a l'obscurité.
Il s'avanca et aperçut le propriétaire, petit, courbé, les ongles longs, une tete de rat... Pablo l'avait deja vu une fois ou deux quand il s'était deplacé en colombie, il ne l'aimait pas.
Le rat parlait a une cliente visiblement attirée par un tableau. Picasso remarqua tout de suite que ce n'était qu'une vulgaire copie d'un vrai tableau de Francesco Albani. Il fit mine de s'interresser a un pot de jade jusqu'a ce que la cliente re parte, emportant le tableau.
Pablo se retourna vers le Rat, dont il ne connaissait pas le vrai prénom.

"Salut." Fit-il sechement

"Pablo Picasso! Content de te revoir" fit le rat d'une fausse voix joviale.

"J'espere bien"

"Que fais-tu a Moscou mon ami?"

"Je suis venu chercher ce que tu me dois depuis si longtemps..."

La figure du rat était devenue livide.

"Euuuh.... oui attends... je... je vais chercher ça..."

"Non je viens avec toi" fit pablo d'une voix froide et tranchante.

Les deux hommes passerent derriere le comptoir, parcoururent un labyrhinte de couloir et arriverent dans une piece rectangulaire, éclairée par des néons, remplies d'étageres sur lesquelles s'étendaient des armes.
Le rat se retourna vers Picasso.

"Ecoute... je... je n'ai pas l'argent alors je..."

"PArfait alors on va se servir en armes!" Sur-ce Pablo s'avanca vers les etageres et observa les armes, il en prit une dizaine qu'il mit dans des valises, avec quelques objets recents modernes très utiles.
"Maintenant montre moi la sortie! Et pas de blagues, sale rat je dois rejoindre mon patron!" ordonna Picasso a celui qui le regardait avec crainte...

Le rat avait été supris par Pablo et il n'avait pas put prévoir le coup.

"Pablo, je n'aurai pas l'argent avant pas mal de temps... que comptes tu faire?"

Quand pablo lui demanda la sortie, le rat le fit passé en premier et il profita d'une seconde d'inattention pour se fauffiler et se cacher derrière deux gardes.

"Essaye de venir enculé"

PAblo avait prévu ce coup "bien digne d'un rat" et se précipita derrere le mur du couloir. Il vourit sa valise d'un coup de pied et en sortit un fusil a pompe.
Il tira tout de suite sans reflechir a travers le mur, vers la où s'était refugié le rat puis il prit sa valsie de la main gauche et courut dans les couloirs jusqu'a ce qu'il trouve une porte qu'il ouvrit pour se retrouver dans une piece carrée avec des machines a coudre, surement un lieu d'éxploitation, pour faire des vetements pas chers...
Pablo se planqua derriere la porte, rechargea son fusil a pompe et se mit 3 colts a la ceinture(deux derrieres un devant) et un magnum contre son torse.
Il avait aussi une tompson démontée dans la valise qu'il remonta en hâte.
Enfin il prit une pause et ecouta les bruits dans le couloir.
Il entendit un homme courir et s'arreter a chaque piece pour regarder l'interieur.
Qaund il arriva dans sa piece, Picasso n'attendit pas et fit feu, il ressortit en courant et trouva la boutique.
Un comité d'acceuil l'attendait...

"Alors Pablo tu veux t'en aller?"

Pablo s'arreta net. Il observa ses assaillants. 4 gorilles, un rat, et deux serpents...
Il déposa tranquillement sa valise au sol, dans laquelle il y avait des chargeurs et de l'argent ainsi que des grenades et d'autres objets divers comme de la dynamite en batons...
Il sortit son magnum, et vida toutes les balles en soupirant, puis il le lanca aux pieds du rat, il prit ensuite le colt qui était visible accroché a l'avant de sa ceinture et le lacha avec le fusil a pompe et la tompson.

"C'est bien Pablo, tu deviens intelligent mine de rien! Allez enleve ta veste et tourne toi qu'on voit si t'as rien derriere"

Pablo obeit, mais quand il se tourna il donna un grand coup de pied dans sa valise, l'envoyant derriere le comptoir, et la suivit d'un bond.
Il sortit un colt et ouvrit la valise dont il prit une grenade qu'il dégoupilla et lanca.
Dès qu'elle explosa il se leva en tirant partout...

Resultat?

Don rentra dans le centre avec sa fille. Ils commencèrent par un magasin de vêtements.

« Alors que veux tu … nous avons toutes la matinée devant nous, et tu as autant d’argent que tu souhaites. Regarde tous ce que tu veux ma fille. »

Don ressortit du magasin pour aller fumer un cigare. Il l’alluma et il entendit des coups de feu. Il jeta un œil vers sa fille et il l’a vit en train d’essayer des vêtements. Il décidait d’aller voir d’où venaient les coups.

Il arriva vers une porte réservée au employé. Il sortit ses colts et entrait tout doucement et il vit deux hommes de derrière tenant Pablo, un homme se tenait en face des trois, ils étaient en train de parler. Pablo était en mauvaise posture, cela ne lui ressemblait pas. Il arriva par derrière et mit un coup dans la jambe d’un des deux gardes qui tomba à genoux. Il lui mit le canon de son colt sur sa nuque.

« Que fait ton monsieur, vous tenez un de mes hommes et je tiens le votre. »

Sergei n'était pas stupide au point d'aller se jeter dans une fusillade sans réfléchir. Il s'était avancé doucement, silencieusement. Il était à l'abri derrière un coin de mur lorsqu'il entendit quelqu'un parler avec un accent Italien.
*Mince, trompé de mafia!*
S'il avait été plus tête brulée, il aurait braqué le type mais il était quelqu'un de réfléchi. Il réalisa après quelques secondes qu'il avait à faire à un parrain d'une grosse famille Italienne. Il décida de rester en retait et de voir comment la situation allait évoluer.

Pablo était légerement sonné avec l'explosion de la grenade et s'était laissé prendre.
Il remarqua sa posture lorsqu'il vit son patron pas loin devant, tenant un homme au bout de son canon.
Il annalisa vite fait la situation et remarqua du coin de l'oeil un homme qui observait la scene, il avait l'air non pas terrifié comme les passants de la rue mais seulement indéci, il regardait la scene avec un zeste de prudence mais ne semblait pas non plus trop craindre la situation.

*Etrange mec... mais bon faut que je me tire de la maintenant...*

Il degagea très lentement son bras gauche pour pas que son garde ne l'aperçoive puis lui enfonca son coude violement dans les cotes. Il attrapa le flingue du garde au vol pendant qu'il tombait et lui tira une balle dans la tete puis il se tourna vers le rat.

"Mon pote il reste plus que toi et un de tes gardes en très mauvaise posture... L'illustre Don a daigné se deplacer spécialement pour nous alors honore le! Fous toi a genoux! TOUT DE SUITE! et les mains sur la tete en passant."

Don frappa le garde qu'il tenait en joue errière lka nuque. Puis il s'avança vers le rat en le pointant.

"Sait tu que emmerdez un gars de a famille est passible de mort... espèce de merde... pour qui te prends tu..."

Il fit mettre le rat à genoux et le frappa violement sur me visage avec la crosse de son colt. Il lui mit le canon entre ses deux yeux.

"Je tires ou pas..." Il regarda pablo pour voir sa réaction et attendre un signe... en avait-il besoin? devait-il le tuer? Don savez que c'était l'homme à pablo et il ne voulait pas lui gacher le plaisir de la punition.

Les deux gangsters s'étaient débarassés sans mal de leurs adversaires. Il ne restait qu'un homme, visiblement sans défense, la situation était donc calme (selon des critères tout à fait personnels). Sergei faillit intervenir mais se ravisa:
*Pas tout de suite, voyons déjà ce que ce type va dire. Je suis curieux de savoir ce qui se passe exactement ici. Si ils veulent faire parler ce type, je pourrais leur proposer un peu d'aide...*

"Boh... Si vous voulez gacher une balle pour un petit rat insignifiant libre a vous! Moi je prefererais le mettre en cage dans ma maison... Mais je ne veux pas vous priver du plaisir d'exterminer une pareille vermine patron!"

Pablo se tourna vers le rat et l'observa ironiquement puis il remarqua Sergei, qu'il avait deja reperé pendant le bref combat.

"Hé toi! T'es qui?" Fit-il en l'interpelant.

Pablo avait gardé son pistolet a la main... au cas où...

*Est-ce qu'il s'adresse à moi? Bien sur, qui d'autre. J'ai manqué de méfiance et ce faisant j'ai manqué de discrétion, maintenant il faut payer. Enfin, peut-être m'épargneront-ils.*
"Sergei Donorov, le boucher de Kiev"
*Me connaissent-ils seulement...*
"Si vous cherchez à lui extorquer des informations, je peux le faire parler et si vous voulez juste le faire souffrir, ça relève aussi de mes compétences. A votre service messieurs."
*Surtout rester confiant, s'ils voient que j'ai peur, c'en est finit.*

une arme se posa sur l'arrière du crane de l'homme qui semblait aimer la torture. C'était un colt 1911, celui de wolfie. Wolfie était droit derrière l'homme et le bras tendu, de façon a garder son corps a une certaines distance de l'homme.

- Faire soufrir les gens c'est mal. Alors je te conseil pas de faire de connerie, car je prendrais un malin plaisir a te plomber le crane enflure.

Don voyait des gens partir et venir comme ça et il ne comprenait rien à ce qui se passait.

"Je me présentes à mon tour, Don Marcelli, chef de la mafia sicillienne la Costra Nueva. Voici Pablo el Picasso, puissant garde du corps, et J. Wolfie, dernièr rentré dans notre mafia. Vu votre nom je parirai sur le fait que vous etes russe. Sans oubliez bien sur notre ami le rat ici présent."

Il fit signe à Joe d'enlever le colt de la tête de notre ami.

"Bon maintenant que les présentatations sont faites, je vais laisser Pablo s'expliquer avec le rat, si tu as besoin de Sergei pour la torture fait lui signe... sinon moi je vais allé avec Wolfie chercher ma fille et on va se casser de cet endroit pourri."

Don retourna paisiblement au magasin où il avait laissé sa fille comme si de rien n'était.

Wolfie abaissa lentement son arme du crane du russe. Bien que celui ci fut un compatriote, il ne suporter pas que l'on torture quelqu'un, comme sa pour s'amuser. Wolfie partit rejoindre son boss mais en passant à coter du russe, il laissa quelques mots a son oreilles.

- Si tu le torture, et sans raisons valable, crois moi, tu sera plus faire la diférence entre la vie et la mort. Tellement tu aura dérouiller.

Sur ce wolfie rangea son arme et rejoin le capo di tutti capi.

*Je suporte pas quon fasse soufrir les gens*

PAblo regarda son patron et Wolfie partir.
Il se gratta la tete, l'air de reflechir puis au bout d'un petit moment de silence il s'adressa a Sergei

"Bon, viens m'aider faut faire vite le flics vont arriver et j'ai horreur des pourparlers..."

Il prit le rat et le traina hors du magasin en direction de la voiture (hrp; sergei tu m'aider si tu veux^^) puis il le mit dans le coffre.
Il repartit en vitesse dans le magasin récuperer des armes et grimpa a l'avant, on entendait des coups sourds dans le coffre, Pablo, passablement emmerdé par ce bruit gueula

"TOI LE RAT TU VAS PRENDRE UNE BALLA DANS TACE SI TU CONTINUE!"

"He Sergei! Tu viens avec moi? Je vais vers l'aeroport ça te dit des vacances en Sicile?"

Même avec un flingue posé derrière la tête, Sergei gardait tou son calme.
*S'il voulait me tuer, il l'aurait déjà fait.*

Citation :

"Je me présentes à mon tour, Don Marcelli, chef de la mafia sicillienne la Costra Nueva. Voici Pablo el Picasso, puissant garde du corps, et J. Wolfie, dernièr rentré dans notre mafia."

*C'est bien ce que je pensais, ce type est important, mieux vaut ne pas faire le malin.*
Sergei se contenta de hocher la tête en signe de respect.

Citation :

-Si tu le torture, et sans raisons valable, crois moi, tu sera plus faire la diférence entre la vie et la mort. Tellement tu aura dérouiller.

*Wolfie, je me souviendrais de ton nom, compatriote, je te souhaite de ne jamais te retrouver sous la question avec moi dans le rôle de l'inquisiteur*Pensa Sergei tout en gardant un calme placide, rien de ses sentiments ne transparut de son visage.


à Pablo el Picasso:
"Bon, viens m'aider faut faire vite le flics vont arriver et j'ai horreur des pourparlers..."
Il prit le rat et le traina hors du magasin en direction de la voiture puis il le mit dans le coffre.
Segei aida Pablo à transporter le rat, ce type maigrelet n'était pas très lourd.

Il repartit en vitesse dans le magasin récuperer des armes et grimpa a l'avant, on entendait des coups sourds dans le coffre, Pablo, passablement emmerdé par ce bruit gueula
"TOI LE RAT TU VAS PRENDRE UNE BALLA DANS TACE SI TU CONTINUE!"
Sergei avait tranqillement attendu Pablo pendant que se dernier faisait "ses courses".

"He Sergei! Tu viens avec moi? Je vais vers l'aeroport ça te dit des vacances en Sicile?"
Sergei monta dasn la voiture sans rien dire. Au bout de quelques minutes de route, il lacha un laconique:
"Pas commode Wolfie, avoir une morale dasn la mafia, c'est pas bon pour l'espérance de vie..."

Pablo s'alluma une cigarette au volant et aspira quelques taffes l'air songeur avant de repondre philosophiquement

"Ouais..."

Puis il réaspira la fumée.

"Mais bon chacun ses problemes mais j'espere qu'il ne nuira en rien de tous mes projets sadiques. En sicile tu compte faire quoi?"

"On va en sicile?" S'étonna Sergei.
"Bof, là bas ou ailleurs, quelle différence, tant que je peux exercer mon boulot. Et si vous avez des projets sadiques, ça sera autant d'occasions pour moi d'exercer. Je ne demande pas beaucoup et je travail avec beaucoup d'application, si vous voyez ce que je veux dire."Reprit-il avec un souvenir en coin.

Don, sa fille et Joe montèrent tous trois dans la voiture. Ils prirent la direction de l'aéroport, d'où ils embarquèrent pour la Sicille. En arrivant au bar, Don laissa sa fille monté ses fringues et alla dans son bureau avec Joe.

[Bureau Don]

{hrp: Le problème est réglé... pour pablo, tu dis que tu as une course a faire et tu te casses ou sinon vous rentrait tout les deux en sicile et puis tu le laches]

[Hj:Ok, merci.]
Après réflexion, Sergei n'avait aucun intérêt à aller en Sicile se compromettre avec une autre mafia. Il décidé de retourner chez lui, pour le moment.