A la recherche...

Cortez était sans patron, sans boulot, sans logement et sans un rond. Il connaissait le patron du bar et il décida d'y aller faire un tour. Devant le bar, il tomba sur Stacks. Stacks est le clochard le plus connus de la ville. Cortez s'aprocha de lui et se mit à sa hauteur.

"Dis moi... tu n'aurai pas entendu parler d'un certain Atayaka? C'est un ponte de la mafia japonaise, il a tout laissé comme ça, sans donner aucunes raisons de son départ, ni aucunes adresse... Dit moi Stacks, tu n'aurais pas quelques tuyaus. Tuyaus qui seront bien rémunéré..."

Cortez voulait revoir le japonais car c'était le seul qui avait assez de préstence. Si jamais, il n'aurait aucunes autres nouvelles... il se ferait mercenaire, rentrerait dans le bar, niquerait la première prostituée et irait en guerre contre ces putains de russes.

*Mais tu peux pas rentrer en guere contre les russes... tu iras trouver les siciliens pour les aider dans leur tache, ils ont peut être besoin d'hômme...**

Stacks était en train de jouer de la guitare quand cortez vint le voir pour lui demander des renseignement. Il n'avait pas l'air décider et apparament, il se concentrait plus sur sa guitare que sur les parole de mr cortez. Mais un évenement changea sa. En effet, d'un seul coup, une corde de la guitare lacha et stacks s'énerva.

-"Merde ! Saleté de guitare fait chier. Qu'est ce que tu veux toi ?!"

Stacks était assez énervé mais il savait très bien qu'il n'avait plus assez d'argent pour réparer sa guitare.

Cortez lui jetta une liasse de vingt billets de vingts dollars.

"Je cherche un certain S. Atayaka... ex-ponte de la mafia japonaise. Tu en aurai pas entendu parler?!!"

Cortez été déjà agacé par Stacks.

"Dis moi que tu sais ou il est s'il te plait, j'ai besoin de lui parler et c'est urgent."

Stacks ramassa la liasse de billets. Il se leva la guitare à la main et regarda Mr Cortez.

"J'ai entendu dire qu'il était en mauvaise état mais qu'il serait de retour... je vais maintenant réparer ma guitare. Ciao cortez."

Stacks lui montra la liasse "Ce fut un plaisir de faire un marché avec toi."

Il s'enfonça dans la profondeur de la rue sombre.