Bureau de Marcelli.

Panzershreik ariva dans le bar, et ne vit que des habitués. Il ne trouva pas le Don. Il décida alors de l'attendre. Il s'asseyat à une table et commandit à boire.

Don arriva de l'aéroport. A son arrivée tout le monde se leva. Un hômme lui enlevit son manteau et lui dit qu'un nouveau venait d'arriver. Il le regardait et lui vit signe de venir dans son bureau. Il pensait à Tony et à Picasso, l'un était mort et l'autre était en mission.

Il entra dans son bureau, suivit de près du nouveau. Don s'asseyat et montrit la chaise au nouveau.

"Présente toi petit... et n'oublies pas à qui tu parles..."

"Mes respect parrain.J'arrive de New York, mon boss Dino Tataglia a été assassiné.J'ai "hérité" de la famille et je me retrouve parrain. Mon but est principalement de créer une forte alliance entre les grandes familles Sicilienne tel que le vôtre.Il faudrait de bonnes relations commerciales et diplomatique. Je souhaiterais etre vôtre allié. Bien sur je n'empièterais pas sur vos clients, terrain etc. Alors qu'en pensez vous?"

"Je pense que c'est une bonne chose, cependant ton armée devra être la tienne. N'essaie pas de me rouler, de me faire un coup de pute car je serai sans pitiée. Mais j'ai confiance en toi petit, je sais que tu ne le feras pas. Si tu as des questions, n'hésites pas à venir me voir."

Don se leva et tendit la bague à au nouveau Parrain.

Panzershreik embrasa la bague du Don
"VOus pouvez avoir confiance en moi."

"Je te remercies Panzer, j'ai otut à fait confiance en toi tu sais."

Don lui montra la sortie. Il en profita pour aller lui aussi retrouver ses confrères, il lui avait semblez entendre la voix de sa fille.

"Alors pablo qu'elles sont les nouvelles?!! Bonnej 'espère..."

MArcelli s'installa confortablement dans son fauteil et croisa les mains.

"Très bonnnes, patron je viens simplement prendre des vôtres" fit Pablo en embrassant les bagues de Marcelli.

"J'ai finit un petit travail simpatique j'aimerais donc savoir si vous avez quelque chose a me proposer, dans le genre tueries si vous voyez ce que je veux dire" fini-t-il avec un sourir carnassier...

"Je suis désolé Pablo, je n'ai rien du tout pour l'instant. Mais je te fait appeler dès que j'ai du nouveau."

Il fit sortir Pablo, et quand il ouvrit la porte il vit Tonio et sa fille qui attendait.

**On ne peut pas être tranquile.**

"Entre Tonio, ma fille."

[HRP: EXPLDRRRRR!!!!! tu dis "entre tonio, ma fille" comme si c'était tonio ta fille^^]

Pablo se leva tranquillement et sortit du bureau en embrassant les bagues du patron et en saluant bien bas sa fille, sans plus faire d'attentions à Tonio.
Lorsqu'il arriva dans le abr il s'alluma une clope.

[suite dans le bar]

Lilehana entra dans le burreau , l'air enervée. La creme de Tonio avait marché qu'a moitier finalement, surment parce qu'elle avait eté faite sur mesure pour la couleur de peau de Tonio.. Enfin elle avait reusit a cacher cette couleur violatre, mais garder cette aspect de bleu. Son regard etait bien fixe dans celui de son pere ce qui montra qu'elle n'etait vraimment pas d'humeur jovial. Ses cheveux venait d'etre recoiffé et avant d'entré elle avait eut le temps de se reparfumer pour caché l'odeur du parfum de Vince. Elle fit signe a Tonio d'entré avec le corps du vieu pervert.

"PAPA! Tu vois ca? [ Montre son menton ] C'est ce vieu truc ivre qui me la fait!"

Elle se precipita vers son pere pour s'assoir sur l'acoudoir de son enorme fauteille en cuire. Elle en profita pour deposé sur la jou de son pere un baisé.

"Monsieur une lettre importante provenant de la Russie... On la reçu par fax..."

L'homme de main, tendit la lettre au Don et attendit les instruction.

"Mais je te rassure il n'a pas eu le temps de le faire une deuxieme fois, je pense meme qu'il a perdu le peu de dents qui lui restait, j'en aurais bien fini avec lui sur le champs mais Lilrhana pensais que vous voudriez le faire ous meme Don, alors on vous l'a apporté pour qu'il sache se qui arrive a ceux qui ose lever la main sur un Marcelli, maintenant c'est a vous de faire de lui se que vous voulez..."
Tonio laissa tombé le vieux sur le sol et atendais la reponse du Don...

Don prit la lettre que lui tendit l'homme lui tendit et l'ouvrit.

Je viens vous annoncez le décès de Vladimir, l'honorable chef russe. Je l'ai tué de mes propres mains car il mettait ma vie en danger. Je vous annonces que des funerailles auront lieu. Tous les chefs des plus grandes mafia seront invités. Je prends la tête du pouvoir Russe. J'espère que nos affaires se passeront pour le mieux.
Amicalement Wiktor.

Don fit signe à l'homme de se débarasser du corps. Il regarda le menton de sa fille.
"Qu'es ce qu'il ya, je ne vois rien?!!"

Il froissa le papier en boule.

"Excusé moi Don, mais si vous pouviez vous occupé d'une lettre que vous pouvez lire quand vous voulez, pourquoi ne pas vous ocupé de votre fille qui c'est fais agressé? Car je veux bien que vous ayez vos problemes, occupez vous des problemes de votre fille, au moin une fois, ellne vous aimera que plus fort... Et que dois-je faire de se vieux pervert qui a levé la main sur VOTRE fille?"
Tonio étais aussi un peu énrvé que le Don ne s'occupe pas de fille, surout quand c'est important pour elle...

"Tonio ramène la moi, j'ai une affaire importante à réglé et elle est invitée. elle doit maintenant comprendre quel boulot fait son père et pourquoi il est si peu présent. Bouge ton cul Tonio, noud n'avons pas toute la journée."

Don avait gardé son calme mais il comprenait la peine de sa fille et de Tonio.

"Ok Don"
Tonio sorti du bar pour allé retrouvé Lilehana mais il ne savais pas où elle étais passé... Mais voyant la peine qu'elle avais en sortant, il eu une petite idée, et s'y rendit immediatement

Don sortit de son bureau et trouva Picasso en train de jouer au poker.

"Pablo, tu cherches toujours un truc à faire?!! Nous sommes invités aux funérailles de Vladimir... il risque d'y avoir un peu de castagne tu veux venir?!!"

Don s'avança vers lui et regardit son jeu.

"Tu es cocu ou terriblement chanceux picasso."

"Hem.... pour cette done peut etre mais c'est rare, et cocu ça m'étonnerait pas, j'ai tellement d'amies intimes sur le vieux port..."

Il rangea son artillerie dans sa poche revolver et ramassa les sous qu'il avait perdu.

"Excusez-moi les gars mais je suis pas très fair-play..."fit-il a l'adresse des joueurs, puis au Don "Je vous suivrais jusqu'en enfer patron! On y va en avion?"

Il se leva et prit son manteau, pret a partir.
Il laissa quand meme une petite compensation aux joueurs de poker.

"Très bien nous n'avons plus qu'à attendre lily et tonio et puis nous partirons sous peu."

Marcelli pensa à l'enterrement et à Vladimir.

"A ton avis, il est mort comment l'autre?!"

Picasso fit mine de reflechir puis répondit.

"Par balle.... Pas une mort naturelle en tout cas, c'est sûr"

Puis il s'appuya contre le mur, fier d'etre la a causer avec le patron, comme si c'était un ami de longue date, et puis voir les autres le regarder avec admiration lui titillait son égo.

[Russie]

En rentrant dans le bureau avec Joe, Don vit une lettre. Il s'asseillat sur son fauteuil et croisa les mains.

"Tu sais ... Joe ... la vie est difficile, surtout quand on fait partie d'une grande famille comme la notre. La mafia sicilienne est une grande patrie, une grande famille mais comme tu as pu le voir nous ne nous ennuyons jamais. Et tu vois cette lettre, je parie que c'est une mauvaise nouvelle donc je ne vais pas l'ouvrir maintenant. On va parler un peu et puis je vais te donner une mission, et puis la vie deviendra monotone ... Je crois qu'il est temps ..."

Don prit la lettre et la jetta à la poubelle sans se douter qu'elle disait que Saky se retirait de la vie mafieuse.

Joe entra dans le bureau. Un magnifique bureau, bien a son gout. Exactement comme il l'aurait imaginer en plus. Il s'assie et écouta le boss parler avant de lui répondre.

"Eh bien si vous le dite. Du moment que je gagne mon prix, sa me va. Vous savez ce que j'aime plus que l'argent? Gagner de l'argent ou le fait de faire quelque chose pour en gagner. Alors si vous avez une mission à me proposer, je suis tout ouï. Allez y, je vous écoute."

Joe se laisse poser sur le dossier du siège, en attendant de se faire briefer sur ce qu'il aurait a faire les prochain jour.

"Au faite, je peut récuperer une voiture?"

"Une voiture ... bien sur que tu pourras en avoir une..."

Après l'enterrement de Vladimir, Don se snetait un peu perturbé, il y avait eu la mort d'El Fuego, et la voix de Sakymonè était inhabituelle. Il avait comme un présentiment, comme si les chefs tombaient, comme si la nouvelle génération devait prendre place. Mais lui, le Grand Don Marcelli ne tombera pas sous le joug de la jeunesse.

"Que penses tu des parrains? de la hierarchie Joe?! Penses tu que je devrais me retirer pour laisser la place aux jeunes?!"

Don réfléchissait aux missions à faire, devrait-il confronté Joe aux autres mafia, ou bien lui faire monté un bizness?!