Bureau de Marcelli.

-"Ce que je pense de la hiérarchie?"

*Je souris, il semblerait que le don s'interresse a ce que moi je pense... Mais pourquoi, qu'est ce qu'il en a à faire. C'est lui le boss, le capodi tutti capi, a moins que se soit un test... Pour voir si je serais assez traitre pour dire que je suis pour une nouvelle hiérarchie. Mais je ne le suis pas, d'ailleurs je ne sais même plus ce que je suis.*

-"Eh bien... J'avouerai être pour le travail bien payer, recevoir des ordre, m'achetait de beau costume avec des thunes que j'aurais bien mérité. Je n'ai pas l'ame d'un boss, d'un caïd, et en aucun cas je vous trahirai, c'est la réponse que vous cherchiez?"

*Je me redresse sur mon siège, impatient de voir la réaction du boss. Qu'allais je devoir faire.*

Le Don croisa ses doigts...

"C'est ce que je recherchais bien évidemment, la vie est pleine d'enculés de tout genres, qui te planterait un couteau dans le dos si nécessaire... Mais si tu me dis que tu n'es pas comme ça je vais te croire et te faire confiance. Je vais te laisser une journée de repos, installe toi dans nos appartements. A ton réveil, quand tu auras bien cambergé, t1u trouveras une lettre sur la table de nuit, accompagnée de clefs de voiture. Tu suivras les instructions à la lettre."

Don ne savait pas encore qu'elle serait sa mission, car le boulot ne manquait pas, mais il aurait surment des missions de recrutements, de nettoyage ou de surveillance sous la main.

"Je te souhaites une bonne fin de journée, sois en forme pour demain.

*Super, enfin un peu de boulot. Je vais pouvoir gagner mon blés par moi même, il était temps. j'me lève et me tient bien droit en signe de respect.*

-"Merci monsieur, merci de me faire confiance. Vous ne serez pas déçu, soyez en sur. Quelque soit le travail, je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour le mener à termes."

*J'me retourne et me dirige vers la porte de sortie du bureau. Il fallait que j'aille m'installer. Bon d'accord j'ai pas beaucoup d'affaire a ranger mais bon. Dès que j'aurais reçu ma première paye, je pense bien aller m'acheter un costume de gout et quelques équipement vestimentaire.

-"A bientot monsieur"

Joe se leva et fit signe à Don.

"A bientot Joe"

Don resta seul dans son bureau. Il ne savait pas par où commencer, quoi faire. Il y avait tellement de chose à s'occuper, la surveillance, la drogue, les putes, le commerce... et puis les temps étaient si calme en ce moment. Pablo était avec le russe, sa fille était dans sa chambre, tonio était en vadrouille et joe était rentré chez lui. Il ne restait plus que quelques clients dans le bar, et don seul dans son bureau. Sa femme était morte dans un accident de voiture, la vie n'était pas si rose, elle était parfaite et don regréttait de l'avoir mélée à la mafia, elle qui était de si bonne famille. Puis était né Lilehana, elle était belle, mais était devenue une enfant gatée. Mais maintenant Don était trop vieux pour avoir une second enfant, bien qu'il aurait aimé avoir un fils, pour l'héritage de la mafia. Bien qu'il avait quelques aventures par ci par la avec des filles de bonne joie, la vie sexuelle de don était monotone.

Il s'adossa dans le fond de son siège et prit son colt. Il ouvrit sa bouche et mit le canon à l'intérieur. La transpiration commença à tombée de son front et son doigt appuya lentement sur la gachette. Le coup partit d'un coup. Don ouvrit ses yeux et revut son bureau. Il n'était pas mort et il se souvint de la parole de son vieux père.

"La balle de ment jamais..."

La balle n'était pas partie, c'était un signe. Il se releva, réajusta son col et sa cravate et sortit de son bureau. Il avait un commerce à faire tourné, et un commerce à gérer.

Don sortit de son bureu et alla dans la rue. Il entendit des pneus criser violement et deux fourgons de la S.W.A.T. débarqué. Don ne fit pas un geste quand les hommes le tenir en joue et il monta dans la voiture sans broncher. Le fourgon prit la direction du pénitencier en dehors de la ville.

Assis sur la banquette et menoté, Don baissait la tête, il ne savait plus quoi penser. Puis une voix sortit de l'ombre.

"Monsieur Marcelli ..."

Le don leva la tête et regarda en direction de la voix.

"Qu'es ce qui y'a enculé de mes deux!?"

"Calmez vous monsieur marcelli, croyez moi que je regrettes ce genre d'intervention, mais cette occasion n'allat pas se reproduire une vingtaine de fois. Il fallait prendre une décision et c'est chose faites. En effet, on ne vois pas souvent un parrain sortir dans la rue sans protection. Comprenenz nous, le président commencai à s'impatienter et de mon côté je ne voulais pas de meutre... trop de sang à coulé déjà."

L'hômme alluma une clope et la cendre rougeoyante laissa apparaitre les traits de l'hômme.

"Nous vous conduisons au pénitencier de la ville, où vous y serez jugé et incarcé, et si vous avez de la chance peut être exécuter. Mais bon après ce que vous avez connu et fait connaitre qu'es ce que l'enfer monsieur marcelli."

Don releva la tête et fixa l'homme dans l'ombre.

"Tu te caches enculé de merde, espèce de fils de pute, de putain de fonctionnaire de merde. Tu ne connais rien de l'enfer. L'enfer c'est quand on s'réveille tous les putins d'matins et qu'on sait pas pourquoi on est là, pourquoi on respire. Mais toi quand tu te reveilles, tu sais ce qui t'attend, ta vie monotone de merde. Alors que moi je ne sais jamais ce qui va se passer, je ne prévoit jamais rien. Et pourtant j'ai toujours un coup d'avance. regarde à la fêntre et mate la ford mustang. Elle te dis rien?!! Je vais te laissé deux options: sois tu me laches maintenant, sois tu laisses tes hômmes s'occuper de la voiture et tu nous mets en danger."

Malgrè la situation, la capacité du on a réagir était impressionnante. Il n'a pas la maîtrise de la situation et pourtant c'est lui qui imposait les règles du jeu.

[=> Bar KGB]

Don revint dans son bureau après l'aventure du Bar. Il ne l'avait pas retrouvé depuis qu'il avait été emprisonné. Il se rassit à son bureau comme un roi qui venait de reprendre son trône. Il se sortit un cigare et se l'alluma. Puis il se leva et se dirigea vers la baie qui surplombait le bar, son bar. Il vit que tout était normal, Kyle était assis à sa table, Santiago était à son bar, il y avait les clients habituels. Mais une chose le frappa, la porte qui menait à l'armurie derrière le comptoir était entrouverte.

Il décida de rester poster la pour voir qui allait sortir.

LIlehana ne prit pas le peine de frapper a la porte. Cela faisait si longtemps qu'elle n'avait pas vu son pere qu'elle ne penssa meme pas a sa reaction. Elle s'affala sur le fauteil devant son burreau et commenca le fixé d'un air intrigué.

" bonjour Popa ! Bien dormi ? "

Elle n'avait aucune idée de comment l'abordée ... aucun caprice ne lui etait venu a l'espirt. Peu etre etait-ce la joie de le retrouver,

Il continua de regarder à sa baie vitrée quand sa fille fit irruption. Il se retourna et la vit sur son fauteuil. Il avait eu tellement de soucis qu'il en avait oublié sa fille. Il se dirigea vers elle et la souleva. Il la serra très fort dans ses bras.

"Ma fille, comment vas-tu?!!"

Il la serra de plus en plus fort puis la relacha sur son fauteuil. Il lui sortit de son bar personel sa boisson préféré et lui fit apporté des gateaux.

"Alors tes courses comment se sont-elles passées?!"

Wolfie arrive devant le bureau du Don.

*J'pense pas l'avoir revu depuis la fusillafe. A peine je l'ai sortit de prison que sa a été la grosse merde. Maintenant, faut que j'vois se qu'il y a a faire par ici. Faudrait pas prendre racine, question de temps.*

Wolfie frappe à la porte du bureau.

-"C'est wolf' patron"

Don entendit frapper à la porte.

"Entre entre..."

Il retourna vers la baie vitrée et fit un tour de regard. Tout le monde était partie. Quand Wolf entra, don alla direct au point.

"Qui était ces gars?!"

Lilehana ne s'attendait pas a cette reaction de la pere de son pere, elle s'attendait a prendre un beau savon pour son nouveau caprice. Elle profita de cette etreinte .

" Mui, mais qu'elle pourit cette fille ! Plus jamais je vais faire mes emplettes avec elle!"

Mais le moment qui les rapprochait fut bien court, un homme travaillant pour son pere fit bientot irruption dans le burreau.
Elle se leva sans adresser un regard pour l'homme et sortie .

" Passe une bonne soirée Pere ! "

Quel ton amere !

*J'entre et j'vois la fille du patron qui sort. Pourtant j'ai pas l'impression qui ya eu de dispute mais bon. J'me tiens bien droit et j'essay d'eviter le regard du patron, question de respect.*

-"J'sais pas trop, j'en connais que un seul. Je lui avait donné l'ordre d'aller trouer le tibia du russkof. C'est grace à lui qu'il est tomber à genou le wiktor. Les deux autres je les connais pas. Mais j'ai l'impression qu'on va pas tarder à en entendre parler."

Wolfie se raproche du patron à petit pas.

-"Sinon, vous auriez pas du taf pour m'occuper?"

*C'est vrai, j'commence à prendre racine a force de dormir et de boire dans ce bar."

"Tu aurais du t'occuper de ces gars... tu ne sais pas qui ils sont, ils rentrent dans mon armurie, partent avec des armes. TU veux du TAF... SURVEILLE MOI CES TROUS DU CUL!"

Don se retourna et le regarda dans les yeux.

"COMMENT OSENT-ILS SE SERVIRENT DE MES ARMES? COMMENT OSENT-ILS PRETENDRE FAIRE PARTIE DE LA FAMILLE ALORS QU'ILS NE SONT PAS ENCORE VENUS SE PRESENTER. Regarde ce qui se trame, une fois leur petite activité finie ramène moi les!"

*merde... Il à l'air énervé. Mais bon j'comprend, j'savais même pas qu'ils étaient en train de voler le boss. Mais maintenant j'donne pas cher de leur peau.*

-"Pas de problème patron, vous pouvez comptez squr moi."

*J'me retourne et j'sors du bureau d'un pas pesant. J'espere qu'ils accepteront de coopéré. J'ai eu assez de sang pour la semaine.*

Wolfie sort du bureau en prenant garde de bien refermer la porte sans la claquer.

Don laissa partir wolfie. Il retourna à son bureau. Il posa ses mains sur la carte de la ville.

"Il est temps que je prenne le controle de la ville, il est temps que la mafia sicilienne s'impose. Mes amis ne sont plus là, je suis le seul restant de notre coopération. Comment les autres prétendre diriger la ville alors que je suis le seul boss."

Don réfléchissa à différents plans pour prendre posséssion de la ville. Il lui fallait des trucs béton, et il lui fallait regrouper ses hômmes entiers. Faire des corruptions, des alliances, des coups de putes... Il allait leur montrer qui il était vraiment.

Après avoir longuement réfléchis il décida de descendre au bar et de se montrer un petit peu.